10 techniques à mettre en place dans son jardin afin de limiter les intrants chimiques et pourquoi pas, s’en passer!
Préambule :
Pesticide signifie tueur de ravageurs, d’espèces nuisibles. On emploie aussi le terme de produit phytosanitaire, ou phytopharmaceutique.
La France est le troisième plus gros utilisateur au monde de pesticides, avec comme conséquence une contamination globale de notre environnement et une atteinte insidieuse à notre santé et aux équilibres naturels.
Le jardinier amateur est aussi un utilisateur de produits phytosanitaires et parfois les doses employées sont importantes.
Il existe des procédés culturaux à mettre en application tout au long de l’année afin de limiter l’utilisation de pesticides, voire de s’en passer.
Cela bouscule nos habitudes, notre logique, mais par ces attitudes, qu’on peut qualifier de gestes écocitoyens, nous arriverons à réduire notre impact sur la pollution de l’air et de l’eau, à préserver notre planète et notre santé.
1. les plantes adaptées à leur milieu :
Les plantes régionales sauvages ou plantées, bénéficient de la meilleure adaptation au biotope local. Ce sont les plantes les plus résistantes, aux aléas climatiques, adaptées aux sols, accueillant une faune et une flore favorisant leur développement. Certaines de ces plantes peuvent servir de haie ou d’arbres d’ombrage, de plantes couvre-sol sur talus…
Autochtone ou non, chaque plante a néanmoins un type de sol et une exposition à respecter. La plantation doit donc suivre certaines règles de base.
Une plante saine, dans un milieu adapté est un gage d’entretien facilité.
6. La gestion des plantes envahissantes
7. les bons gestes aux bons moments
8. Le bon outil, adapté, entretenu