10 techniques à mettre en place dans son jardin afin de limiter les intrants chimiques et pourquoi pas, s’en passer!
3. la fertilité du sol :
Les plantes se nourrissent notamment d’éléments se trouvant dans le sol. Ces éléments pour la plupart résultent d’une transformation de matières organiques par les habitants du sol. Sans les animaux du sol, vers, insectes, araignées, crustacés… mais aussi les micro-organismes, bactéries, champignons… la transformation de la matière organique en nourriture pour plantes ne pourrait se faire. Il faut donc favoriser la vie du sol, en apportant le gîte et le couvert ! A manger, à boire, de l’air et de quoi pouvoir se reproduire.
Les pratiques culturales dans le jardin, et entre autres, le travail du sol, doivent prendre en compte ces paramètres. Un retournement brutal (fraises du motoculteur) ou un labour profond, une terre nue ou tassée, désorganisent la vie du sol, l’appauvrissent et par conséquent affaiblissent les végétaux, agrandissant le risque pour eux de ne pouvoir se défendre naturellement des attaques parasitaires. Néanmoins, des techniques alternatives existent. L’aération du sol sans retournement, le travail du sol en surface évitent le mélange des couches du sol. Ces opérations culturales sont bénéfiques pour les plantes, pour les habitants du sol et aussi pour le jardinier.
1. la plante adaptée à son milieu
6. La gestion des plantes envahissantes
7. les bons gestes aux bons moments
8. Le bon outil, adapté, entretenu