10 techniques à mettre en place dans son jardin afin de limiter les intrants chimiques et pourquoi pas, s’en passer!
4. La gestion de l’arrosage
L’eau c’est la vie. Tout organisme vivant à besoin d’eau en permanence. Mais juste ce qu’il faut. L’air est tout aussi important. Il ne faut pas qu’un trop d’eau induise un manque d’air dans le sol. On obtiendrait du coup, une asphyxie racinaire des plantes et aussi une grande mortalité des habitants du sol.
La gestion de l’eau n’est pas simple, mais l’observation du jardin nous apprend beaucoup. Avec un peu de pratique, le jardinier reconnaît vite les manques d’eau, voire les anticipe.
Quelle quantité d’eau pour ma plante ?
La quantité d’eau à apporter dépend de l’espèce végétale mais aussi, de la saison, du temps qu’il fait (et qu’il a fait les jours passés), du stade de culture, de l’âge de la plante, du type de sol et du dernier arrosage (type d’arroseur et quantité d’eau apportée). Tous ces paramètres à prendre en compte montrent qu’il est impossible de donner des indications strictes d’arrosage. Si vous posez la question à un vendeur de plantes, « comment faut-il l’arroser? » la réponse sera de toute façon que générale car trop de paramètres entrent en jeu. Là encore, l’observation est primordiale.
Pour ne pas désorganiser la vie du sol, l’arrosage doit être maîtrisé. L’action étant complexe, tout est mis en œuvre dans le jardin pour limiter les arrosages. La première action est de limiter l’évaporation par des binages et des paillages. Il est vrai que le meilleur des arrosages est celui que l’on a pas besoin de faire. Il est aussi vrai que l’on doit adapter les plantes au milieu, car l’inverse est bien compliqué voire impossible sans aléas… (voir le lien 1. la plante adaptée à son milieu.
1. la plante adaptée à son milieu
6. La gestion des plantes envahissantes
7. les bons gestes aux bons moments
8. Le bon outil, adapté, entretenu