En mai, fais ce qu’il te plait ! Et même ce qu’il ne te plait pas…
Le jardinage n’est pas forcément une partie de plaisir quand on se laisse déborder. Imaginez un week-end d’absence suivit d’un autre week-end de pluie, les herbes indésirables associées aux parasites animaux et végétaux vont rendre votre havre de paix en un lieu de désordre, d’anarchie, pire, de nature non maîtrisée !
Oulàlà ! Par où je commence ?
Entre les semis de haricot, courgette, basilic, carotte, céleri, persil, laitue, poireau et autre potiron, les repiquages des semis d’avril (c’était bien la peine de s’avancer !) la fertilisation dont je ne sais plus si j’en ai mis à cet endroit, le désherbage manuel (je suis adepte du jardinage au naturel, moi !), les pincements, les ligatures, le paillage, l’éclaircissage, l’ombrage, la préparation du compost, et les premières récoltes, je me dis que celui qui a installé des ponts en mai avec 31 jours dont 5 dimanches cette année, devait être un jardinier !
Il est vrai qu’un potager de 600m² quand on est une famille de 3 personnes, est peut-être un tantinet surdimensionné. Me faire aider par ma progéniture, dites vous ? Oui pourquoi pas… mais savez vous qu’une célèbre firme de consoles vidéo vient de créer un jeu pour apprendre… à jardiner ? Dans sa chambre, avec une manette !
Il est faux de dire que les jeunes ne jardinent pas. Certains pratiquent le jardinage différemment.
Il y a des plaisirs qui ne s’expliquent pas…